Chant d’entrée
Réunis au nom du Seigneur,
qui nous a rassemblés devant son autel,
célébrons le mystère de la foi,
sous le signe de l'amour et de l'unité
célébrons le mystère de la foi,
sous le signe de l'amour et de l'unité
Seigneur, donne un sens à notre vie,
ta présence nous aide à marcher;
ta parole est une source d'eau vive,
que nous, assoiffés, à votre table,
nous venons chercher
Réunis au nom du Seigneur,
qui nous a rassemblés devant son autel,
célébrons le mystère de la foi,
sous le signe de l'amour et de l'unité
célébrons le mystère de la foi,
sous le signe de l'amour et de l'unité
Gloria
Gloria in excelsis Deo
et in terra pax hominibus bonae voluntatis.
Laudamus te.
Benedicimus te.
Adoramus te.
Glorificamus te.
Gratias agimus tibi propter magnam gloriam tuam.
Domine Deus rex celestis Deus pater omnipotens.
Domine Fili unigenite Iesu Christe.
Domine Deus Agnus Dei Filius Patris.
Qui tollis peccata mundi miserere nobis.
Qui tollis peccata mundi suscipe deprecationem nostram
Qui sedes ad dexteram Patris miserere nobis.
Quoniam Tu solus Sanctus.
Tu solus Dominus.
Tu solus altissimus Iesu Christe.
Cum Sancto Spiritu in gloria Dei Patris. Amen.
Première lecture (Ex 32, 7-11.13-14)
Lecture du livre de l’Exode
En ces jours-là, le Seigneur parla à Moïse :
« Va, descends, car ton peuple s’est corrompu, lui que tu as fait monter du pays d’Égypte. Ils n’auront pas mis longtemps à s’écarter du chemin que je leur avais ordonné de suivre ! Ils se sont fait un veau en métal fondu et se sont prosternés devant lui.
Ils lui ont offert des sacrifices en proclamant : Israël, voici tes dieux, qui t’ont fait monter du pays d’Égypte.’ »
Le Seigneur dit encore à Moïse : « Je vois que ce peuple est un peuple à la nuque raide. Maintenant, laisse-moi faire ; ma colère va s’enflammer contre eux et je vais les exterminer ! Mais, de toi, je ferai une grande nation. »
Moïse apaisa le visage du Seigneur son Dieu en disant : « Pourquoi, Seigneur, ta colère s’enflammerait-elle contre ton peuple, que tu as fait sortir du pays d’Égypte par ta grande force et ta main puissante ?
Souviens-toi de tes serviteurs, Abraham, Isaac et Israël, à qui tu as juré par toi-même : Je multiplierai votre descendance comme les étoiles du ciel ; je donnerai, comme je l’ai dit, tout ce pays à vos descendants, et il sera pour toujours leur héritage. »
Le Seigneur renonça au mal qu’il avait voulu faire à son peuple.
Parole du Seigneur
Nous rendons grâce à Dieu
Psaume 50
Oui, je me lèverai et j’irai vers mon Père
Oui, je me lèverai et j’irai vers mon Père
Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour,
selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave-moi tout entier de ma faute,
purifie-moi de mon offense.
Oui, je me lèverai et j’irai vers mon Père
Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu,
renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit.
Ne me chasse pas loin de ta face,
ne me reprends pas ton esprit saint.
Oui, je me lèverai et j’irai vers mon Père
Seigneur, ouvre mes lèvres,
et ma bouche annoncera ta louange.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un esprit brisé ;
tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé.
Oui, je me lèverai et j’irai vers mon Père
Deuxième lecture ( 1 Tm 1, 12-17)
Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre à Timothée
Bien-aimé, je suis plein de gratitude envers celui qui me donne la force, le Christ Jésus notre Seigneur, car il m’a estimé digne de confiance lorsqu’il m’a chargé du ministère, moi qui étais autrefois blasphémateur, persécuteur, violent. Mais il m’a été fait miséricorde, car j’avais agi par ignorance, n’ayant pas encore la foi ; la grâce de notre Seigneur a été encore plus abondante, avec la foi, et avec l’amour qui est dans le Christ Jésus.
Voici une parole digne de foi, et qui mérite d’être accueillie sans réserve : le Christ Jésus est venu dans le monde pour sauver les pécheurs et moi, je suis le premier des pécheurs.
Mais s’il m’a été fait miséricorde, c’est afin qu’en moi le premier, le Christ Jésus montrentoute sa patience, pour donner un exemple à ceux qui devaient croire en lui, en vue de la vie éternelle.
Au roi des siècles, au Dieu immortel, invisible et unique, honneur et gloire pour les siècles des siècles.
Amen.
Acclamation de l’Évangile
Alleluia ! Alleluia ! Alleluia !
Montre-nous, Seigneur, ta miséricorde
et donnez-nous votre salut.
Alleluia ! Alleluia ! Alleluia !
Evangile (Lc 15, 1-32)
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là, les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! » Alors Jésus leur dit cette parabole : « Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une, n’abandonne-t-il pas les 99 autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ?
Quand il l’a retrouvée, il la prend sur ses épaules, tout joyeux, et, de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins pour leur dire : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue ! Je vous le dis : C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de conversion.
Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent et qu’elle en perd une, ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison, et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ? Quand elle l’a retrouvée, elle rassemble ses amies et ses voisines pour leur dire : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé la pièce d’argent que j’avais perdue !
Ainsi je vous le dis : Il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit.
Jésus dit encore : « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.
Et le père leur partagea ses biens. Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre.
Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans ses champs garder les porcs. Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien.
Alors il rentra en lui-même et se dit : Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.
Il se leva et s’en alla vers son père. Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers.
Le fils lui dit : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Mais le père dit à ses serviteurs : Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds, allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé.
Et ils commencèrent à festoyer. Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses. Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait. Celui-ci répondit : Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.
Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père sortit le supplier. Mais il répliqua à son père : Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis. Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras ! Le père répondit : Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé !
Acclamons la Parole de Dieu.
Louange à toi, Seigneur Jésus.
Réunis au nom du Seigneur,
qui nous a rassemblés devant son autel,
célébrons le mystère de la foi,
sous le signe de l'amour et de l'unité
célébrons le mystère de la foi,
sous le signe de l'amour et de l'unité
Seigneur, donne un sens à notre vie,
ta présence nous aide à marcher;
ta parole est une source d'eau vive,
que nous, assoiffés, à votre table,
nous venons chercher
Réunis au nom du Seigneur,
qui nous a rassemblés devant son autel,
célébrons le mystère de la foi,
sous le signe de l'amour et de l'unité
célébrons le mystère de la foi,
sous le signe de l'amour et de l'unité
Gloria
Gloria in excelsis Deo
et in terra pax hominibus bonae voluntatis.
Laudamus te.
Benedicimus te.
Adoramus te.
Glorificamus te.
Gratias agimus tibi propter magnam gloriam tuam.
Domine Deus rex celestis Deus pater omnipotens.
Domine Fili unigenite Iesu Christe.
Domine Deus Agnus Dei Filius Patris.
Qui tollis peccata mundi miserere nobis.
Qui tollis peccata mundi suscipe deprecationem nostram
Qui sedes ad dexteram Patris miserere nobis.
Quoniam Tu solus Sanctus.
Tu solus Dominus.
Tu solus altissimus Iesu Christe.
Cum Sancto Spiritu in gloria Dei Patris. Amen.
Première lecture (Ex 32, 7-11.13-14)
Lecture du livre de l’Exode
En ces jours-là, le Seigneur parla à Moïse :
« Va, descends, car ton peuple s’est corrompu, lui que tu as fait monter du pays d’Égypte. Ils n’auront pas mis longtemps à s’écarter du chemin que je leur avais ordonné de suivre ! Ils se sont fait un veau en métal fondu et se sont prosternés devant lui.
Ils lui ont offert des sacrifices en proclamant : Israël, voici tes dieux, qui t’ont fait monter du pays d’Égypte.’ »
Le Seigneur dit encore à Moïse : « Je vois que ce peuple est un peuple à la nuque raide. Maintenant, laisse-moi faire ; ma colère va s’enflammer contre eux et je vais les exterminer ! Mais, de toi, je ferai une grande nation. »
Moïse apaisa le visage du Seigneur son Dieu en disant : « Pourquoi, Seigneur, ta colère s’enflammerait-elle contre ton peuple, que tu as fait sortir du pays d’Égypte par ta grande force et ta main puissante ?
Souviens-toi de tes serviteurs, Abraham, Isaac et Israël, à qui tu as juré par toi-même : Je multiplierai votre descendance comme les étoiles du ciel ; je donnerai, comme je l’ai dit, tout ce pays à vos descendants, et il sera pour toujours leur héritage. »
Le Seigneur renonça au mal qu’il avait voulu faire à son peuple.
Parole du Seigneur
Nous rendons grâce à Dieu
Psaume 50
Oui, je me lèverai et j’irai vers mon Père
Oui, je me lèverai et j’irai vers mon Père
Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour,
selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave-moi tout entier de ma faute,
purifie-moi de mon offense.
Oui, je me lèverai et j’irai vers mon Père
Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu,
renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit.
Ne me chasse pas loin de ta face,
ne me reprends pas ton esprit saint.
Oui, je me lèverai et j’irai vers mon Père
Seigneur, ouvre mes lèvres,
et ma bouche annoncera ta louange.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un esprit brisé ;
tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé.
Oui, je me lèverai et j’irai vers mon Père
Deuxième lecture ( 1 Tm 1, 12-17)
Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre à Timothée
Bien-aimé, je suis plein de gratitude envers celui qui me donne la force, le Christ Jésus notre Seigneur, car il m’a estimé digne de confiance lorsqu’il m’a chargé du ministère, moi qui étais autrefois blasphémateur, persécuteur, violent. Mais il m’a été fait miséricorde, car j’avais agi par ignorance, n’ayant pas encore la foi ; la grâce de notre Seigneur a été encore plus abondante, avec la foi, et avec l’amour qui est dans le Christ Jésus.
Voici une parole digne de foi, et qui mérite d’être accueillie sans réserve : le Christ Jésus est venu dans le monde pour sauver les pécheurs et moi, je suis le premier des pécheurs.
Mais s’il m’a été fait miséricorde, c’est afin qu’en moi le premier, le Christ Jésus montrentoute sa patience, pour donner un exemple à ceux qui devaient croire en lui, en vue de la vie éternelle.
Au roi des siècles, au Dieu immortel, invisible et unique, honneur et gloire pour les siècles des siècles.
Amen.
Acclamation de l’Évangile
Alleluia ! Alleluia ! Alleluia !
Montre-nous, Seigneur, ta miséricorde
et donnez-nous votre salut.
Alleluia ! Alleluia ! Alleluia !
Evangile (Lc 15, 1-32)
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là, les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! » Alors Jésus leur dit cette parabole : « Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une, n’abandonne-t-il pas les 99 autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ?
Quand il l’a retrouvée, il la prend sur ses épaules, tout joyeux, et, de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins pour leur dire : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue ! Je vous le dis : C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de conversion.
Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent et qu’elle en perd une, ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison, et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ? Quand elle l’a retrouvée, elle rassemble ses amies et ses voisines pour leur dire : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé la pièce d’argent que j’avais perdue !
Ainsi je vous le dis : Il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit.
Jésus dit encore : « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.
Et le père leur partagea ses biens. Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre.
Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans ses champs garder les porcs. Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien.
Alors il rentra en lui-même et se dit : Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.
Il se leva et s’en alla vers son père. Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers.
Le fils lui dit : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Mais le père dit à ses serviteurs : Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds, allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé.
Et ils commencèrent à festoyer. Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses. Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait. Celui-ci répondit : Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.
Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père sortit le supplier. Mais il répliqua à son père : Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis. Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras ! Le père répondit : Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé !
Acclamons la Parole de Dieu.
Louange à toi, Seigneur Jésus.