A 20 kilomètres de Paris, l’abbaye bénédictine de Saint-Louis-du-Temple accueille des vieilles dames dans leur l’hôtellerie. Pourquoi ont-elles préféré ce lieu à une maison de retraite classique ?
Soeur Raphaëlle veille sur ses hôtes âgées en organisant leur quotidien. L’une des résidentes se souvient de l’abbaye qu’elle fréquentait enfant et qui a aussi abrité l’artiste peintre Geneviève Gallois.
Vivre en suivant la règle monastique de Saint Benoît tout en accueillant des personnes en hôtellerie : une vocation spécifique au sein de la communauté bénédictine.
Choix économique pour les moniales bénédictines, la transformation de l’hôtellerie en maison de retraite offre aux vieilles dames un lieu où vieillir près de Dieu.
Le jour de l’an réunit les familles autour des résidentes. Elles aimeraient rester vieillir à l’ombre de l’abbaye mais la vieillesse n’est pas affaire de volonté mais d’abandon.
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