Ecologie et vie monastique sont deux mots qui vont très bien ensemble. Les bénédictins de l ’abbaye de la Pierre-qui-Vire ont pris très tôt conscience de la nécessité de respecter la création mais aussi de corriger les méfaits de la crise pétrolière et des engrais chimiques. Dès les années 60, le cours d’eau a été détourné et une centrale hydroélectrique installée. Passe à poissons sur la rivière, élevage bio, méthanisation, chaufferie centrale à plaquettes de bois : ils ont le souci de préserver la création. Frère Guillaume : « on a été écolo sans le savoir ».