Si se confesser est un acte de parole, il n’est pas une analyse psychologique. S’il libère, ce n’est pas de la culpabilité mais de la souffrance de ne plus être dans le coeur de Dieu.
Alors, que vivons-nous quand nous allons nous confesser ? Quels sont les effets de ce sacrement dit de réconciliation ?
Points de vue croisés d’une religieuse xavière et d’un prêtre, qui accordent une grande place à la confession.