Louis-Guillaume Piéchaud est orfèvre, Marie Feillée, chasublière. Ces deux artisans expriment leur foi dans les objets liturgiques qu’ils créent.
Institutrice, Françoise Coustaury a quitté son métier pour se consacrer à la peinture des icônes. Une passion que la famille Piéchaud vit pour l’orfèvrerie religieuse depuis quatre générations.
La chasublière Marie Feillée commence la réalisation d’un voile d’ambon adapté à l’esprit de l’église où il est installé. De son côté, Louis-Guillaume Piéchaud présente le projet du nouvel autel et du bas-relief en bronze qui le décorera. Une aubaine pour l’orfèvre qui voit les commandes se ralentir.
Peindre une icône : un travail artistique enseigné par Françoise Coustaury à des élèves qui veulent aussi se rapprocher de Dieu. Chercher des vestiges préhistoriques dans les champs : une passion de l’orfèvre Louis-Guillaume Piéchaud qui s’apparente aussi à une quête spirituelle.
Françoise Coustaury contemple avec son amie l’icône qu’elle a offert à la chapelle des Anges à Paris. Une oeuvre vivante qui invite à la prière. Marie Feillée a réussi avec son voile à mettre l’ambon, lieu de la proclamation de la Parole en lien l’abbatiale de Pontigny et la Parole elle-même.
Une production : CFRT/ Découpages