Caroline Fourest commente cette phrase de la Lettre de Saint Paul aux Thessaloniciens : "Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu".
Elle lui évoque la séparation tardive entre la religion et la politique. Elle a reçu une éducation religieuse et a été élevée dans une famille dans laquelle la liberté de s'exprimer et de parler de tout était primordiale. C'est en découvrant son homosexualité qu'elle a été confrontée à l'homophobie des catholiques alors même qu'ils prônent la tolérance. La beauté de la religion tient à son patrimoine. Alors, quand Notre-Dame de Paris a brûlé c'est la beauté qui est partie en fumée, un événement qui a peiné autant les croyants que les non-croyants.