Le film documentaire revient sur les événements les plus marquants de la première année du pontificat de François : ses voyages à Lampedusa, Assise, au Proche-Orient, ses initiatives pour la paix, ses propos contre la mafia, la réforme de la Curie et le synode sur la famille.
La renonciation de Benoit XVI a été vécue comme un traumatisme dans l’Eglise mais a aussi suscité des attentes : celle d'une remise en marche d'une Eglise évangélisatrice.
Une église pauvre pour les pauvres est au cœur de la tradition. Le pape François a voulu être aux côtés des migrants de Lampedusa, est allé à Assise et a déjeuné avec les gens pauvres et non avec les invités. Le pape François essaie d'insuffler un changement de mentalité. Il s'est adressé aux victimes de la mafia à l'invitation de l'association Libera, mais aussi aux mafieux car pour eux aussi la conversion est possible. Suite à son voyage au Proche Orient, le Pape, qui ne veut pas faire de politique, a organisé une prière israélo palestinienne au Vatican pour tenter de trouver un chemin vers le paix.
Le pape François a initié la réforme de la Curie en mettant en place un conseil des cardinaux pour écouter les besoins des églises locales. Le pape a choisi lui-même le thème du synode sur la famille, qui se déroule en deux parties selon sa volonté. La force du pape François lui vient de la prière. Mgr Danneels s'interroge : « jusqu'où va-t-il nous emmener, je me le demande, mais ce sera bon. »
Les propos de cinq intervenants, dont 3 collaborateurs, sont illustrés par des images (photogrammes extraits d'archives de CTV) ou de photos d'agences, permettant de saisir les gestes et attitudes du pape François lors des différents événements évoqués dans le film.
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