En 2015, François Peltier, artiste-peintre, reçoit la commande d’une œuvre hors du commun : une représentation du livre de l’Apocalypse de saint Jean pour le cloître de la collégiale Saint-Emilion. Son commanditaire : le curé de la paroisse. “Je m’étais toujours posé la question, raconte le père de Rozières, y a-t-il au 21e siècle des artistes que l’Eglise peut être amenée à appeler à s’exprimer pour dire la foi ?”
Jean-Yves Fischbach a suivi l’artiste tout au long de son travail. Avec sa femme, François Peltier s’interroge, cherche, peint, efface, recommence. Les panneaux s’assemblent. Fresque au final de 40 mètres de longueur sur 5 mètres de hauteur, L’Apocalypse est le fruit d’un travail d’interrogation et d’interprétation pour comprendre, actualiser et mettre en images le foisonnement d’images symboliques du dernier livre de la Bible écrit il y a 2000 ans. Peu à peu, ce qui constituera une fresque monumentale, prend forme ainsi que le sens de ce combat entre le Bien et le Mal grâce aux analyses du théologien Philippe Plet.
Le travail achevé, François Peltier en retire une grande ode à l’espérance et à l’amour : “l’homme ne peut pas atteindre le Bien sans l’aide du Christ”, dit-il en conclusion. Une œuvre magnifique que le film donnera certainement envie d’aller contempler à la collégiale Saint-Emilion.
Jean-Yves Fischbach a suivi l’artiste tout au long de son travail. Avec sa femme, François Peltier s’interroge, cherche, peint, efface, recommence. Les panneaux s’assemblent. Fresque au final de 40 mètres de longueur sur 5 mètres de hauteur, L’Apocalypse est le fruit d’un travail d’interrogation et d’interprétation pour comprendre, actualiser et mettre en images le foisonnement d’images symboliques du dernier livre de la Bible écrit il y a 2000 ans. Peu à peu, ce qui constituera une fresque monumentale, prend forme ainsi que le sens de ce combat entre le Bien et le Mal grâce aux analyses du théologien Philippe Plet.
Le travail achevé, François Peltier en retire une grande ode à l’espérance et à l’amour : “l’homme ne peut pas atteindre le Bien sans l’aide du Christ”, dit-il en conclusion. Une œuvre magnifique que le film donnera certainement envie d’aller contempler à la collégiale Saint-Emilion.