Pour le Carême 1969, Jean Bourdarias a conduit une série de quatre entretiens avec le père Yves Congar (1904-1995). Dominicain, il a eu très tôt une vocation pour l'unité des chrétiens et a été précurseur de Vatican II. Au coeur de cet interview, la question de la spécificité de l'attitude chrétienne face à la mort.
Le Père Yves Congar aborde cette question successivement sur deux plans : le plan humain puis le plan spécifiquement du croyant. Ainsi, la mort atteint-elle tout homme. Elle possède un caractère inéluctable. Il n'y a plus de lendemain, ce qui n'a pas été dit ou manifesté ne pourra plus l'être.
Le croyant aborde la mort avec moins de crainte que le non croyant, même s'il peut connaître la peur du jugement de Dieu. Mais fondamentalement, le chrétien ne vit pas la mort comme une fin mais comme un commencement. Le P. Yves Congar achève cet entretien autour de la problématique de l'immortalité de l'âme et de la résurrection de la chair.
Le Père Yves Congar aborde cette question successivement sur deux plans : le plan humain puis le plan spécifiquement du croyant. Ainsi, la mort atteint-elle tout homme. Elle possède un caractère inéluctable. Il n'y a plus de lendemain, ce qui n'a pas été dit ou manifesté ne pourra plus l'être.
Le croyant aborde la mort avec moins de crainte que le non croyant, même s'il peut connaître la peur du jugement de Dieu. Mais fondamentalement, le chrétien ne vit pas la mort comme une fin mais comme un commencement. Le P. Yves Congar achève cet entretien autour de la problématique de l'immortalité de l'âme et de la résurrection de la chair.