En Thaïlande, un prince indien prêcha vers 550 avant Jésus-Christ en réaction contre les spéculations indouistes. Avec quelques disciples pour qui il est devenu le Bouddha, ce qui signifie l’illuminé, il fonde une nouvelle doctrine le bouddhisme. En 1973, date du film, 200 à 500 millions de bouddhistes sont répartis dans le monde, principalement en Asie du Sud-Est, en Chine et au Japon.
Le père Pezet, missionnaire catholique originaire de Carcassonne, a annoncé l'Evangile à une minorité chrétienne dans le Nord de la Thaïlande pendant une quinzaine d’années. Cette situation le pousse à étudier le bouddhisme de plus près. Il se rend à Bangkok, où un bonze lui accorde l'hospitalité dans l'enceinte d'une pagode. Sous la conduite d'un maître, il s'initie à l'enseignement du Bouddha. Ainsi le père Pezet et un moine bouddhiste nous parlent du Bouddha et tracent les grandes lignes de son enseignement.
La prédication bouddhiste tourne principalement autour de la spiritualité que l’homme doit développer. Le bouddhisme n’est pas une philosophie, ni un moralisme, ni une religion ; c’est une voix de réalisation spirituelle, une sagesse. Le film alterne les épisodes de la vie de Bouddha sur des illustrations qui les représentent, avec le récit qu’en fait le père Pezet. Il nous donne aussi la vision qu’ont les bouddhistes sur les Occidentaux.
L’histoire de celui qui allait devenir le Bouddha, alors jeune prince, qui part à la rencontre du monde jusqu’à décider de mener une vie de renonciation et de pénitence. Après un long temps de méditation, il trouve la racine de la misère humaine : l’égocentrisme, l’égoïsme. Il part annoncer cette découverte à ses anciens disciples ; ce sera le « serment de Bénarès » dans lequel il détaille pour la première fois sa doctrine. Cette vérité ultime, il la détailla en 4 nobles vérités. Première vérité : la vie de l’homme est misère et finitude, à cause du mal. Deuxième vérité : la cause du mal est que l’homme fait de lui-même un absolu, c’est l’égocentrisme. Troisième vérité : pour guérir de ce mal, il faut renoncer à soi-même, et être ouvert d'esprit et aux autres. Quatrième vérité : la voie de purification se fait par la pratique du bien, la maîtrise de soi ; l’illumination en découlera. L’enseignement de Bouddha porte essentiellement sur la connaissance de l’homme.
Le père Pezet, missionnaire catholique originaire de Carcassonne, a annoncé l'Evangile à une minorité chrétienne dans le Nord de la Thaïlande pendant une quinzaine d’années. Cette situation le pousse à étudier le bouddhisme de plus près. Il se rend à Bangkok, où un bonze lui accorde l'hospitalité dans l'enceinte d'une pagode. Sous la conduite d'un maître, il s'initie à l'enseignement du Bouddha. Ainsi le père Pezet et un moine bouddhiste nous parlent du Bouddha et tracent les grandes lignes de son enseignement.
La prédication bouddhiste tourne principalement autour de la spiritualité que l’homme doit développer. Le bouddhisme n’est pas une philosophie, ni un moralisme, ni une religion ; c’est une voix de réalisation spirituelle, une sagesse. Le film alterne les épisodes de la vie de Bouddha sur des illustrations qui les représentent, avec le récit qu’en fait le père Pezet. Il nous donne aussi la vision qu’ont les bouddhistes sur les Occidentaux.
L’histoire de celui qui allait devenir le Bouddha, alors jeune prince, qui part à la rencontre du monde jusqu’à décider de mener une vie de renonciation et de pénitence. Après un long temps de méditation, il trouve la racine de la misère humaine : l’égocentrisme, l’égoïsme. Il part annoncer cette découverte à ses anciens disciples ; ce sera le « serment de Bénarès » dans lequel il détaille pour la première fois sa doctrine. Cette vérité ultime, il la détailla en 4 nobles vérités. Première vérité : la vie de l’homme est misère et finitude, à cause du mal. Deuxième vérité : la cause du mal est que l’homme fait de lui-même un absolu, c’est l’égocentrisme. Troisième vérité : pour guérir de ce mal, il faut renoncer à soi-même, et être ouvert d'esprit et aux autres. Quatrième vérité : la voie de purification se fait par la pratique du bien, la maîtrise de soi ; l’illumination en découlera. L’enseignement de Bouddha porte essentiellement sur la connaissance de l’homme.