Elles mènent une vie de prière et de travail. Depuis leur couvent parisien, les Sœurs franciscaines réparatrices de Jésus-Hostie ont tissé des liens forts avec Le Jour du Seigneur.
« Les Sœurs de l’avenue de Villiers », telle est leur appellation au Jour du Seigneur. Derrière la porte du 127, avenue de Villiers, dans le XVIIe arrondissement de Paris, une vingtaine de sœurs franciscaines réparatrices de Jésus-Hostie vivent en communauté au sein de ce qui est leur maison-mère. Chaque sœur assume une part de travail : cuisine, buanderie, couture et confection des habits religieux.
Anciennes voisines du CFRT-Le Jour du Seigneur qui se trouvait autrefois au numéro 121, elles assurent également une activité de secrétariat pour l’association depuis les années 1970. Si le lien avec Le Jour du Seigneur n’est plus physique, il demeure entre les sœurs et nos équipes « une grande fraternité ». Parmi les religieuses, sœur Agnès-Maria a travaillé à partir de 1966 au CFRT et a côtoyé le fondateur de l’émission Le Jour du Seigneur, le père Raymond Pichard. Un visionnaire pour qui elle avait « une grande admiration ».
Depuis 1973, les sœurs de l’avenue de Villiers reçoivent les demandes d’homélies des messes du Jour du Seigneur. Grâce à leur imprimerie baptisée François-Dominique, elles les éditent et assurent les envois par courrier postal. Mission qu’elles assurent depuis près de cinquante ans ! Le matériel a évolué, certes, mais elles continuent d’assurer environ quatre-cents envois d’homélies par mois. « C’est une forme d’apostolat », évoque sœur Agnès-Maria. Les sœurs Agnès-Maria, Marie-Bethléem et Marie-Philippe gèrent également les abonnements et relaient auprès de leur communauté des intentions de prière.
Congrégation fondée en 1894, les Sœurs franciscaines réparatrices sont à la fois dans le monde et contemplatives. L’apostolat des sœurs qui prend sa source dans l’adoration et l’union au Christ Sauveur est un moyen d’exercer leur mission réparatrice. À la maison Jésus-Hostie, le Saint-Sacrement est exposé toute la journée et les Sœurs se relaient toutes les demi-heures au prie-Dieu.
L’éducation chrétienne de la jeunesse constitue également l’une de leurs activités. Sœur Agnès-Maria assure l’aumônerie de l’école de danse de l’Opéra national de Paris et œuvre auprès de la paroisse Saint-François-Xavier. À l’initiative du mouvement « La France qui prie », une trentaine de sœurs et de laïcs se rassemblent tous les mercredis à 18 h 30. Devant le couvent, avec une statue de la Sainte Vierge, elles récitent le chapelet pour lui confier ce morceau de Paris. Et quelques curieux se joignent régulièrement à elles !
Recevez chaque semaine par courrier les homélies de nos prédicateurs. Pour vous abonner : contactez le 01 44 08 88 78 ou homelie@lejourduseigneur.com
Consultez toutes les homélies du Jour du Seigneur.
« Les Sœurs de l’avenue de Villiers », telle est leur appellation au Jour du Seigneur. Derrière la porte du 127, avenue de Villiers, dans le XVIIe arrondissement de Paris, une vingtaine de sœurs franciscaines réparatrices de Jésus-Hostie vivent en communauté au sein de ce qui est leur maison-mère. Chaque sœur assume une part de travail : cuisine, buanderie, couture et confection des habits religieux.
Anciennes voisines du Jour du Seigneur
Anciennes voisines du CFRT-Le Jour du Seigneur qui se trouvait autrefois au numéro 121, elles assurent également une activité de secrétariat pour l’association depuis les années 1970. Si le lien avec Le Jour du Seigneur n’est plus physique, il demeure entre les sœurs et nos équipes « une grande fraternité ». Parmi les religieuses, sœur Agnès-Maria a travaillé à partir de 1966 au CFRT et a côtoyé le fondateur de l’émission Le Jour du Seigneur, le père Raymond Pichard. Un visionnaire pour qui elle avait « une grande admiration ».
Diffusion des homélies
Depuis 1973, les sœurs de l’avenue de Villiers reçoivent les demandes d’homélies des messes du Jour du Seigneur. Grâce à leur imprimerie baptisée François-Dominique, elles les éditent et assurent les envois par courrier postal. Mission qu’elles assurent depuis près de cinquante ans ! Le matériel a évolué, certes, mais elles continuent d’assurer environ quatre-cents envois d’homélies par mois. « C’est une forme d’apostolat », évoque sœur Agnès-Maria. Les sœurs Agnès-Maria, Marie-Bethléem et Marie-Philippe gèrent également les abonnements et relaient auprès de leur communauté des intentions de prière.
Une vie de contemplation
Congrégation fondée en 1894, les Sœurs franciscaines réparatrices sont à la fois dans le monde et contemplatives. L’apostolat des sœurs qui prend sa source dans l’adoration et l’union au Christ Sauveur est un moyen d’exercer leur mission réparatrice. À la maison Jésus-Hostie, le Saint-Sacrement est exposé toute la journée et les Sœurs se relaient toutes les demi-heures au prie-Dieu.L’éducation chrétienne de la jeunesse constitue également l’une de leurs activités. Sœur Agnès-Maria assure l’aumônerie de l’école de danse de l’Opéra national de Paris et œuvre auprès de la paroisse Saint-François-Xavier. À l’initiative du mouvement « La France qui prie », une trentaine de sœurs et de laïcs se rassemblent tous les mercredis à 18 h 30. Devant le couvent, avec une statue de la Sainte Vierge, elles récitent le chapelet pour lui confier ce morceau de Paris. Et quelques curieux se joignent régulièrement à elles !
Recevez chaque semaine par courrier les homélies de nos prédicateurs. Pour vous abonner : contactez le 01 44 08 88 78 ou homelie@lejourduseigneur.com
Consultez toutes les homélies du Jour du Seigneur.