Chant d’entrée
En araméen
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
En araméen
En vain tu devances le jour,
En vain tu devances le jour
Tu retardes le moment de ton repos,
tu manges un pain de douleur,
Dieu comble son bien-aimé quand il dort.
Dieu comble son bien-aimé quand il dort.
En araméen
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
En araméen
Des fils, voilà ce que donne le Seigneur, des enfants,
la récompense qu'il accorde ; comme des flèches aux mains d'un guerrier,
la récompense qu'il accorde ; comme des flèches aux mains d'un guerrier,
Ainsi les fils de la jeunesse.
Ainsi les fils de la jeunesse.
En araméen
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
En araméen
Heureux l'homme vaillant
qui a garni son carquois de telles armes !
Heureux l'homme vaillant
qui a garni son carquois de telles armes !
S'ils affrontent leurs ennemis sur la place,
ils ne seront pas humiliés.
S'ils affrontent leurs ennemis sur la place,
ils ne seront pas humiliés.
Ainsi, il donne à ses biens aimés le repos.
Ainsi, il donne à ses biens aimés le repos.
En araméen
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
Psaume 100
Acclamez le Seigneur, terre entière,
O donneur de lumière, O Seigneur : nous élevons nos louanges
Acclamez le Seigneur, terre entière
Servez le Seigneur dans l’allégresse
O donneur de lumière, O Seigneur : nous élevons nos louanges
Venez avec lui avec des chants de joie !
Reconnaissez que le Seigneur est Dieu :
Il nous a faits, et nous sommes à lui,
Nous son peuple, son troupeau.
Venez dans sa maison lui rendre grâce,
Dans sa demeure chanter ses louanges ;
Rendez-lui grâce et bénissez son nom !
Oui, le Seigneur est bon, éternel est son amour,
Sa fidélité demeure d’âge en âge.
Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit,
Maintenant et à jamais. Amen
Acclamez le Seigneur, terre entière,
O donneur de lumière, O Seigneur, nous élevons nos louanges !
Prions. La paix soit avec nous.
Glorieux, Seigneur, est la grande fidélité de ta divinité,
et haut et haut, le sanctuaire impressionnant de ton autorité.
Ils ne sont pas honteux non plus,
car ils espèrent et se fient à vous,
invoquent votre nom et vous en supplient à tout moment, Seigneur, Père, Fils et Saint-Esprit, pour toujours.
Amen
Première lecture (Hb 11, 8 -16)
Lecture de la lettre aux Hébreux
Par la foi, répondant à l’appel, Abraham obéit et partit pour un pays qu’il devait recevoir en héritage, et il partit sans savoir où il allait.
Par la foi, il vint résider en étranger dans la Terre promise, habitant sous la tente avec Isaac et Jacob, les cohéritiers de la même promesse, car il attendait la ville munie de fondations, qui a pour architecte et constructeur, Dieu lui-même.
Par la foi, Sara, elle aussi, malgré son âge avancé, fut rendue capable d’avoir une postérité parce qu’elle tint pour fidèle l’auteur de la promesse.
C’est pourquoi, aussi, d’un seul homme, déjà marqué par la mort, naquit une multitude comparable à celle des astres du ciel, innombrable comme le sable du bord de la mer.
Dans la foi, ils moururent tous sans avoir connu la réalisation des promesses, mais après les avoir vues et saluées de loin, et après s’être reconnus comme étrangers et voyageurs sur la terre.
Car ceux qui parlent ainsi, montrent clairement qu’ils sont à la recherche d’une patrie.
Et s’ils avaient eu dans l’esprit celle dont ils étaient sortis, ils auraient eu le temps d’y retourner.
En fait, c’est à une patrie meilleure qu’ils aspirent, à une patrie céleste. C’est pourquoi Dieu n’a pas honte d’être appelé leur Dieu, il leur a, en effet, préparé une ville.
Psaume 104
(araméen)
Bénis le Seigneur, ô mon âme
A toi la gloire, ô Dieu !
Bénis le Seigneur, ô mon âme ;
Seigneur mon Dieu, tu es si grand !
Revêtu de magnificence,
tu as pour manteau la lumière !
Comme une tenture, tu déploies les cieux,
tu élèves dans leurs eaux tes demeures ;
des nuées, tu te fais un char,
tu t’avances sur les ailes du vent ;
tu prends les vents pour messagers,
pour serviteurs, les flammes des éclairs.
Tu as donné son assise à la terre :
qu’elle reste inébranlable au cours des temps.
Tu l’as vêtue de l’abîme des mers :
les eaux couvraient même les montagnes ;
à ta menace, elles prennent la fuite,
effrayées par le tonnerre de ta voix.
Elles passent les montagnes, se ruent dans les vallées
vers le lieu que tu leur as préparé.
Tu leur imposes la limite à ne pas franchir :
qu’elles ne reviennent jamais couvrir la terre.
Dans les ravins tu fais jaillir des sources
et l’eau chemine aux creux des montagnes ;
elle abreuve les bêtes des champs :
l’âne sauvage y calme sa soif ;
les oiseaux séjournent près d’elle :
dans le feuillage on entend leurs cris.
De tes demeures tu abreuves les montagnes,
et la terre se rassasie du fruit de tes œuvres ;
tu fais pousser les prairies pour les troupeaux,
et les champs pour l’homme qui travaille.
De la terre il tire son pain :
le vin qui réjouit le cœur de l’homme,
l’huile qui adoucit son visage,
et le pain qui fortifie le cœur de l’homme.
Les arbres du Seigneur se rassasient,
A toi la gloire, ô Dieu !
Evangile (Mt 25, 1-13)
Alors, il en sera du royaume des Cieux comme de dix jeunes filles qui prirent leur lampe et sortirent à la rencontre de l’époux.
Cinq d’entre elles étaient insensées, et cinq étaient avisées :
En prenant leur lampe, les filles insensées n’avaient pas emporté d’huile,
Les filles avisées, elles, avaient pris, avec leurs lampes, de l’huile dans des fioles.
Comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent.
Au milieu de la nuit, un cri retentit: “Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.”
Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et apprêtèrent leur lampe.
Les insensées dirent aux avisées : “Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.”
Les avisées répondirent : “certes pas, il n’y en aurait pas assez pour nous et pour vous ! Allez plutôt chez les marchands en acheter pour vous.”
Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva. Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et l’on ferma la porte.
Finalement, arrivent à leur tour les autres jeunes filles qui disent : “Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !”
Mais il répondit : “En vérité, je vous le déclare : je ne vous connais pas.”
Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure.
Gloire à toi, Seigneur notre Dieu
Chant final - Toutes les œuvres du Seigneur
Bénissez le Seigneur
Vous les anges du Seigneur
Bénissez le Seigneur
A lui, louange pour toujours,
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Vous les cieux
Bénissez le Seigneur
Et vous les eaux dessus le ciel
Bénissez le Seigneur
Et toutes les puissances du Seigneur
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Et vous la lune et le soleil
Bénissez le Seigneur
Et vous les astres du ciel
Bénissez le Seigneur
Vous toutes pluies et rosées
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Vous tous souffles et vents
Bénissez le Seigneur
Et vous le feu et la chaleur
Bénissez le Seigneur
Et vous la fraicheur et le froid
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Et vous les nuits et les jours
Bénissez le Seigneur
Et vous les ténèbres la lumière
Bénissez le Seigneur
Et vous les éclairs, la nuée
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Et vous montagnes et collines
Bénissez le Seigneur
Et vous les plantes de la terre
Bénissez le Seigneur
Et vous sources et fontaines
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Et vous, rivières, océans
Bénissez le Seigneur
Vous tous bêtes et troupeaux
Bénissez le Seigneur
Vous tous oiseaux dans le ciel
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Vous les enfants des hommes
Bénissez le Seigneur
Les esprits et les âmes des justes
Bénissez le Seigneur
Les saints et les humbles de cœur
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
En araméen
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
En araméen
En vain tu devances le jour,
En vain tu devances le jour
Tu retardes le moment de ton repos,
tu manges un pain de douleur,
Dieu comble son bien-aimé quand il dort.
Dieu comble son bien-aimé quand il dort.
En araméen
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
En araméen
Des fils, voilà ce que donne le Seigneur, des enfants,
la récompense qu'il accorde ; comme des flèches aux mains d'un guerrier,
la récompense qu'il accorde ; comme des flèches aux mains d'un guerrier,
Ainsi les fils de la jeunesse.
Ainsi les fils de la jeunesse.
En araméen
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
En araméen
Heureux l'homme vaillant
qui a garni son carquois de telles armes !
Heureux l'homme vaillant
qui a garni son carquois de telles armes !
S'ils affrontent leurs ennemis sur la place,
ils ne seront pas humiliés.
S'ils affrontent leurs ennemis sur la place,
ils ne seront pas humiliés.
Ainsi, il donne à ses biens aimés le repos.
Ainsi, il donne à ses biens aimés le repos.
En araméen
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville,
c'est en vain que veillent les gardes.
Psaume 100
Acclamez le Seigneur, terre entière,
O donneur de lumière, O Seigneur : nous élevons nos louanges
Acclamez le Seigneur, terre entière
Servez le Seigneur dans l’allégresse
O donneur de lumière, O Seigneur : nous élevons nos louanges
Venez avec lui avec des chants de joie !
Reconnaissez que le Seigneur est Dieu :
Il nous a faits, et nous sommes à lui,
Nous son peuple, son troupeau.
Venez dans sa maison lui rendre grâce,
Dans sa demeure chanter ses louanges ;
Rendez-lui grâce et bénissez son nom !
Oui, le Seigneur est bon, éternel est son amour,
Sa fidélité demeure d’âge en âge.
Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit,
Maintenant et à jamais. Amen
Acclamez le Seigneur, terre entière,
O donneur de lumière, O Seigneur, nous élevons nos louanges !
Prions. La paix soit avec nous.
Glorieux, Seigneur, est la grande fidélité de ta divinité,
et haut et haut, le sanctuaire impressionnant de ton autorité.
Ils ne sont pas honteux non plus,
car ils espèrent et se fient à vous,
invoquent votre nom et vous en supplient à tout moment, Seigneur, Père, Fils et Saint-Esprit, pour toujours.
Amen
Première lecture (Hb 11, 8 -16)
Lecture de la lettre aux Hébreux
Par la foi, répondant à l’appel, Abraham obéit et partit pour un pays qu’il devait recevoir en héritage, et il partit sans savoir où il allait.
Par la foi, il vint résider en étranger dans la Terre promise, habitant sous la tente avec Isaac et Jacob, les cohéritiers de la même promesse, car il attendait la ville munie de fondations, qui a pour architecte et constructeur, Dieu lui-même.
Par la foi, Sara, elle aussi, malgré son âge avancé, fut rendue capable d’avoir une postérité parce qu’elle tint pour fidèle l’auteur de la promesse.
C’est pourquoi, aussi, d’un seul homme, déjà marqué par la mort, naquit une multitude comparable à celle des astres du ciel, innombrable comme le sable du bord de la mer.
Dans la foi, ils moururent tous sans avoir connu la réalisation des promesses, mais après les avoir vues et saluées de loin, et après s’être reconnus comme étrangers et voyageurs sur la terre.
Car ceux qui parlent ainsi, montrent clairement qu’ils sont à la recherche d’une patrie.
Et s’ils avaient eu dans l’esprit celle dont ils étaient sortis, ils auraient eu le temps d’y retourner.
En fait, c’est à une patrie meilleure qu’ils aspirent, à une patrie céleste. C’est pourquoi Dieu n’a pas honte d’être appelé leur Dieu, il leur a, en effet, préparé une ville.
Psaume 104
(araméen)
Bénis le Seigneur, ô mon âme
A toi la gloire, ô Dieu !
Bénis le Seigneur, ô mon âme ;
Seigneur mon Dieu, tu es si grand !
Revêtu de magnificence,
tu as pour manteau la lumière !
Comme une tenture, tu déploies les cieux,
tu élèves dans leurs eaux tes demeures ;
des nuées, tu te fais un char,
tu t’avances sur les ailes du vent ;
tu prends les vents pour messagers,
pour serviteurs, les flammes des éclairs.
Tu as donné son assise à la terre :
qu’elle reste inébranlable au cours des temps.
Tu l’as vêtue de l’abîme des mers :
les eaux couvraient même les montagnes ;
à ta menace, elles prennent la fuite,
effrayées par le tonnerre de ta voix.
Elles passent les montagnes, se ruent dans les vallées
vers le lieu que tu leur as préparé.
Tu leur imposes la limite à ne pas franchir :
qu’elles ne reviennent jamais couvrir la terre.
Dans les ravins tu fais jaillir des sources
et l’eau chemine aux creux des montagnes ;
elle abreuve les bêtes des champs :
l’âne sauvage y calme sa soif ;
les oiseaux séjournent près d’elle :
dans le feuillage on entend leurs cris.
De tes demeures tu abreuves les montagnes,
et la terre se rassasie du fruit de tes œuvres ;
tu fais pousser les prairies pour les troupeaux,
et les champs pour l’homme qui travaille.
De la terre il tire son pain :
le vin qui réjouit le cœur de l’homme,
l’huile qui adoucit son visage,
et le pain qui fortifie le cœur de l’homme.
Les arbres du Seigneur se rassasient,
A toi la gloire, ô Dieu !
Evangile (Mt 25, 1-13)
Alors, il en sera du royaume des Cieux comme de dix jeunes filles qui prirent leur lampe et sortirent à la rencontre de l’époux.
Cinq d’entre elles étaient insensées, et cinq étaient avisées :
En prenant leur lampe, les filles insensées n’avaient pas emporté d’huile,
Les filles avisées, elles, avaient pris, avec leurs lampes, de l’huile dans des fioles.
Comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent.
Au milieu de la nuit, un cri retentit: “Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.”
Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et apprêtèrent leur lampe.
Les insensées dirent aux avisées : “Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.”
Les avisées répondirent : “certes pas, il n’y en aurait pas assez pour nous et pour vous ! Allez plutôt chez les marchands en acheter pour vous.”
Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva. Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et l’on ferma la porte.
Finalement, arrivent à leur tour les autres jeunes filles qui disent : “Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !”
Mais il répondit : “En vérité, je vous le déclare : je ne vous connais pas.”
Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure.
Gloire à toi, Seigneur notre Dieu
Chant final - Toutes les œuvres du Seigneur
Bénissez le Seigneur
Vous les anges du Seigneur
Bénissez le Seigneur
A lui, louange pour toujours,
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Vous les cieux
Bénissez le Seigneur
Et vous les eaux dessus le ciel
Bénissez le Seigneur
Et toutes les puissances du Seigneur
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Et vous la lune et le soleil
Bénissez le Seigneur
Et vous les astres du ciel
Bénissez le Seigneur
Vous toutes pluies et rosées
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Vous tous souffles et vents
Bénissez le Seigneur
Et vous le feu et la chaleur
Bénissez le Seigneur
Et vous la fraicheur et le froid
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Et vous les nuits et les jours
Bénissez le Seigneur
Et vous les ténèbres la lumière
Bénissez le Seigneur
Et vous les éclairs, la nuée
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Et vous montagnes et collines
Bénissez le Seigneur
Et vous les plantes de la terre
Bénissez le Seigneur
Et vous sources et fontaines
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Et vous, rivières, océans
Bénissez le Seigneur
Vous tous bêtes et troupeaux
Bénissez le Seigneur
Vous tous oiseaux dans le ciel
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur
Vous les enfants des hommes
Bénissez le Seigneur
Les esprits et les âmes des justes
Bénissez le Seigneur
Les saints et les humbles de cœur
Bénissez le Seigneur, bénissez le Seigneur